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mercredi 19 novembre 2014

Confession d’un Dracos

ggille



Publié le 19 novembre 2014 

Le 10 novembre 2014, je reçois cette transmission: « Ne craint pas le message qui suit, car il annonce de belles perspectives pour l’avenir de la Terre. Détends toi, je te protège, bien que tu n’aies rien à craindre, je tiens à te le préciser. » Ashtar

Il me présente une faction divergente des êtres qui se nomment les « dracos ». Cette faction ne souhaite plus s’opposer à la fédération galactique et se propose de coopérer afin de pouvoir envisager de participer au plan d’ascension de la Terre. J’hésite puis, ne ressentant pas la moindre peur, j’accepte la communication de celui qui attend d’être entendu.

Nous venons à toi en ce jour car nous avons des révélations à faire. Nous n’avons jamais cru jusque là à la capacité de l’espèce humaine de transcender la matière. Pour nous, seules les capacités psychiques de notre race, pouvaient permettre de tirer son épingle du jeu.

Nous savons, nous avons conscience d’être co-créateurs d’un rêve. Nous avons la conscience d’être enfermés dans une sorte de jeu. Et dans ce jeu nous avons joué très personnellement. Envers et contre tous. Car étant co-géniteurs de votre espèce, nous avions conscience des difficultés de développement qu’elle encourait. (Les dracos semblent être intervenus après notre création par les Nations étoiles dans le but de modifier notre ADN. Nous serions hybrides de plusieurs espèces dont les maîtres généticiens de Sirius et d’autres nations seraient à l’origine).

Nous n’avions pas conscience que la création de votre espèce pourrait représenter un pont vers une nouvelle possibilité d’évolution pour nous. Nous avons pris part à votre création pour de mauvaises raisons. Vous deviez représenter de la main d’oeuvre et rien de plus. Pour nous, vous n’étiez ni des frères, ni des enfants, contrairement à ce que pensaient les autres membres des nations étoiles. Pour nous, vous étiez un sous-produit doté des faiblesses de nos ennemis et à peine capables de nos pouvoirs psychiques.

Depuis le début de la transition, comme vous l’avez nommée, il apparait avec évidence, que votre évolution est la clé. La clé de notre évolution à nous aussi. Car bien que maîtres de notre, de votre monde, depuis des siècles, nous n’irons pas plus loin désormais. Nous ne sommes pas capables d’aimer. Et nous ne sommes pas capables de vous en empêcher.

Malgré tous nos stratagèmes pour vous contrôler, dans le but de nous nourrir de vos émotions, de vos peurs, nous n’avons jamais pu vous empêcher d’aimer. Il semble que finalement la clé de notre évolution est en vous. Vous qui même dans le chaos que nous avons créé, réussissez à tirer votre épingle du jeu, mieux que n’importe lequel d’entre nous. Et malgré tous nos efforts pour contrôler ce monde, il semble que ce dernier vous préfère à nous.

La honte que représente notre existence est le sentiment que nous ressentons désormais. Nous ne pouvons pas encore aimer, mais nous ressentons de la honte et je crois, comme certains de mes frères, que ce sentiment est le commencement d’une nouvelle possibilité d’évolution pour nous.

Nous n’avons pas de sentiment de fraternité, nous avons l’appartenance. Mais lorsque notre propre monde, notre propre terre semble nous rejeter pour vous préférer à nous. Nous ressentons cette honte. Comme des êtres vaincus dans leur bataille.

Nous nous inclinons devant votre petite taille, très chers êtres humains, car pour la première fois depuis des siècles et des siècles, elle nous inspire le respect. Puisse votre existence, par la grâce de son évolution, nous montrer le moyen de sauver nos âmes. Puissent nos âmes apprendre de nos erreurs. Et puissent nos frères encore dans l’ombre se rallier à notre cause, à votre cause. Celle de l’avenir de cet univers. Puissiez-vous un jour prochain nous pardonner nos actes, nos intrusions et nos offenses à votre condition.

Petits êtres vous devenez grands. Continuez sans vous retourner, vous êtes à l’évidence sur le bon chemin. Un chemin parsemé d’étoiles.

Mon nom ne vous dira rien de plus. Je suis un habitant du cosmos, résident sur Terre, dans l’ombre jusqu’ici.

Transmis par Aurélie Pech

(Merci infiniment de transmettre le texte à condition de ne pas le couper, ne pas modifier le contenu et de mentionner l’auteur)


 

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